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Mes courses 2005

cliquez sur les ronds bleu pour parvenir à la destination souhaitée.

GO Villepinte : duathlon (4-14-2)
GO Pontault Combault : 10 Km
GO Meudon : trail (12km)
GO Combs la ville : 10km
GO Souppes sur Loing : Triathlon
GO Gretz sur Loing : Triathlon
GO Grande Paroisse : Triathlon
GO Corbigny : Cyclosportive (100km)
GO Montereau : 10km
GO Chelles (oise) : run and bike 18km
GO Crepy en valois : run and bike 19.6km

linerunner



retour Villepinte

Date: 10/04/2005
Lieux: Villepinte
Distance: Duathlon (4-14-2)
Commentaire: RAS
Chrono: 01:05:20
Classement homme: 43 sur environ 90


Il s'en est passé depuis le marathon d'Amsterdam le 19.10.04.
J'ai soignée ma tendinite aidé en cela par une kiné très efficace, mais l'inactivité qui a découlée de ma convalescence m'aura révélée beaucoup de chose.

1 J'ai pris du poids. 70 kg ce matin encore. J'ai abusé de sucre rapide et d'aliments gras. Résultat: un bilan sanguin pas très reluisant et une petite hypercholestérolémie.

2 Au plus dur de ma tendinite et à cause de ma sédentarisation forcée induite. (Pour faire court, je me faisais chier), j'ai retouché à la clope(cigarillos pour être précis). Ca a duré 4 mois environ . Jamais plus de 10 par jours, mais suffisamment pour intoxiquer pas mal d'alvéoles pulmonaires, et donc d'éprouver un manque lors du sevrage tabagique.
Ce fut quand même bien plus facile qu'il y a 7 ans pour arrêter la rigolade.
Voilà qui prouve que la sensation plaisante du tabac est fortement imprimée notamment à cause du retour de certaines activités (guitare) d'il y a 7ans, qui était fortement associé à la consommation de clope .
C'est comme un réflexe. Tu prends ta guitare, t'allume une clope.
Mais maintenant que je reprend le sport, je peut aussi prendre la guitare sans que l'envie de nicotine ne me taraude irrépressiblement. La petite tentation est là, mais aisément contrôlable

3 Bien pale durant ses 4 mois. Voilà un autre résultat de la sédentarité. Également des douleurs lombaires chiantes. Mes abdos ont disparus noyés sous les mars et les chocolateries diverses. Depuis ma reprise sportive. Plus aucune douleurs. En fait de bons abdos suffisent à prévenir ce désagrément dans mon cas.

C'est bon j'arrêtes de pleurer. Depuis un mois, j'inverses la tendance de belle manière. -Stop la clope. -Reprise d'un entraînement fréquent et motivé par la super progression qui en découle. Ressentir de nouveau la griserie de la course. Indemne de toute douleurs parasites. Rien que moi et la nature.

Le CR:

Dimanche matin, placardée à la piscine de Lagny, une annonce bien colorée m'attire l'oeil. En voilà une super idée: un duathlon au parc du sausset. C'est génial, juste ce qu'il me faut pour reprendre la compétition.
De belle éclaircies ce matin, et parfois une brise bien fraîche qui rappelle qu'on est bien en Avril. Mon VTT dans le coffre est briqué et huilé.
17 euros pour l'inscription. C'est la licence journée qui coûte chère. Hélas obligatoire pour les non licenciés à la FF tri. La tune toujours la tune. Mais bon. Ca vaudra la peine...
Le départ est donné avec un pistolet de gamin. C'est à peine si nous entendons un petit bing. Enfin, lorsque la meute s'ébroue, c'est qu'il est temps d'y aller. 2 tours de 2 Km pour commencer la course à pied. La deuxième boucle me permet de doubler pas mal. J'ai le sentiment d'un peu trop donner lors de cette mise en jambe. Mais bon. Lancé pour lancé. Je suis a l'écoute de mon tendon fragilisé. Pas de désagréments malgré l'allure preste et les kilomètres. Achille m'épargne on dirait. Pour l'instant!.
Arrivé dans le parc à vélo, j'attrape mon VTT presque à la volée , et roule sur les chemins majoritairement gravillonnés du Sausset. Je reste attentif aux défauts du terrain, surtout aux nombreuse ornières. Les 2 premiers tours (sur 4 au total en VTT), je pêche surtout par excès de prudence. Pas mal de concurrents me passe aux endroits un peu technique. J'ai les pepettes, il faut avouer, et j'apprécie mal les multiples virages très serrés proposés sur le parcours. Je freine trop fort et je tourne trop large. A chaque fois, je suis donc obligé de relancer violement après chaque courbes un peu accentuées afin d'éviter que le groupe de 5 pilote que j'ai finalement intégré ne me sème irrémédiablement. Ca m'énerve un peu car j'ai le sentiment d'être à leur niveau aérobie. L'aspiration, ça sert. Même en VTT.
Lorsque nous attaquons la cote principale (environ 200m d'un bon dénivelé) pour la 2ème fois, je me mets debout sur les pédales, bien décidé à ne pas me faire griller la politesse comme lors du premier franchissement de ce petit "Tourmalet". Plein de hargne, j'appuie comme une bête sur les pédales. J'attaque la cote à pleine puissance. Comme à l'entame d'un sprint. Tant et si bien que que ma chaîne déraille avec un bruit bref et puissant. J'aurais pas du passer la 1ere! Me retrouver au bord du chemin, à l'arrêt, comme un blaireau. Il y a quelques années j'aurais stressé. Mais là. Instantanément après avoir repérer le problème(moins d'une seconde après le bruit), et lâché quand même un bon "putain, fait chier" libérateur, je suis calme et je remet tranquillement, oui, tranquillement ma chaîne du premier coup. Mon index et mon pouce gauche sont noirs de jaie et je me suis fait dépasser par une bonne dizaine de pilotes durant cette petite mésaventure d'1 minute environ. Je redémarre avec l'intention de maintenir ma position, voir de dépasser un peu. Au fil des minutes, je prends un peu confiance et je parviens à tracer quelques trajectoires serrées en perdant moins de vitesse. Nous roulons de concert avec une jeune triathlète et ca nous permet de recoller à,l'une de ses "adversaire". Cela dis, lorsqu'elle a démarrer, la jeune triathlète, Je suis mort. Au revoir... A la fin du VTT, je tires la langue. Je dépose mon engin contre la borne 75. Je bois un peu et je repars.
Les première foulées cognent et agressent mes mollets. Les alertes de crampes passent au bout de 500m. C'aurait été dommage autrement, car en fait, je n'avances pas. J'ai la sensation de me traîner et je ne peut rien faire contre. Pesanteur dans les jambes, épuisement bien désagréable, je parcours les 2 Km de course à pied final en un peu moins de 10mn.
Je franchis le boudin de l'arrivé autant heureux d'en finir que d'avoir réussit ce Duathlon bien sympa sans douleur au tendon. Je reste jusqu'au podium. Les organisateurs vont se tromper d'ailleurs et oubliés les vainqueurs d'un relais. Heureusement, ces derniers se signalerons et le podium sera rectifié. En conséquence les ex 1er descendent sur la 2eme marche, le 2 sur la 3, et les ex 3ème...ont bien les boules.
Perso, ca va. J'ai gagné un beau bouquin sur les Alpes à la tombola.
De retour à la maison, j'ai le visage blanchi par le sel autour des yeux. Après la douche salvatrice, je finirais mon repas à 15h. Puis je ressens de nouveau cette saine fatigue qui t'assomme et te pousse à une sieste délicieuse. J'ai bien donné aujourd'hui.

linerunner




retour pontault combault

Date: 08/05/2005
Lieux: Pontault Combault
Distance: 10Km
Commentaire: Temps idéal pour le run
Chrono: 00:40:07
Classement homme: 110 sur 516
classement général

Un peu de goudron.
Un peu de sous-bois.
C’était le chemin à suivre pour passer une bonne matinée.
10 Km bien sympa et plat sous un temps clément.
Nous sommes partis ce matin vers 8h45 avec Pascal pour arriver 15m + tard à Pontault-combault. Elles ont été vraiment bien organisées ces foulées de Pontault. Ca commence à l’inscription, où de nombreux bénévoles gèrent rapidement l’attribution des dossards. Beaucoup d’autres aiguilleront les coureurs pendant la course. Je m’étire consciencieusement puis m’échauffe pendant un quart d’heure avant de rallier le départ où environ 600 coureurs trépignent.

Toujours une organisation impeccable. En effet des sas par temps nous accueillerons selon notre niveau estimé. Ceux qui pensent courir en + d’une heure intègrent un sas bleu. Ceux qui espèrent courir entre 58’ et 45’ intègre un sas vert. Nous rentrerons avec Pascal dans le sas jaune des 45’-40’et nous nous calerons au fond, à coté d’un coureur avec dossard qui avait l’intention de balader son gamin dans sa poussette spécial course en – de 45’ donc. Original et surprenant !

Nous discutons un peu avec Pascal et un Papy plein de jovialité.

C’est parti :

Mon cardio, erratique, indique 239 pulsations minutes. Ca fait une bonne semaine qu’il déconne au démarrage. Je cours le premier kilomètre un peu freiné par la concentration de coureur dons je parviens à m’extraire après environ 500m et je remonte des dizaines de concurrents. Je me concentre à  dompter ma fougue. Ca fait tellement longtemps que je n’ai pas courus libéré de la hantise de douleurs tendineuses que je me sens porté vers l’excès. Mollo yoyo. Tu auras le temps de revenir à un meilleur niveau. Aujourd’hui, il te faut arriver et donner ton meilleur sur la totalité de ces 10 Km. Voici mes pensées de l’instant

Et je le dis.

Oui. J’ai très bien gérée la distance puisque c’est l’un des premiers 10 Km où je réalise un négatif Split. Pourtant au passage du 1er 5000 en 20’15, je ne pense vraiment pas être apte à renouveler un effort identique. Il y a une différence entre la volonté et les capacités. Et bien finalement, aujourd’hui, je me suis sous estimé. En fait, j’ai réussi grâce à un coureur de l’ UA Villenoy au front ceint d’un bandeau noir. Je suis parvenu à m’accrocher à sa foulée du 5 ème au 9 ème kilomètre. Je lui ai même involontairement un peu coupée la route à un virage serré. C’est un haut le cœur qui m’a fait ralentir .Au neuvième kilomètre,  Kilomètre intense puisque outre mon léger ralentissement, pour la première fois depuis le départ, un coureur que je ne me souviens pas avoir dépassé ne se gêne pas lui pour le faire.

Par contre je relève quelques bizarreries.

Le maillot de ce coureur flotte au vent. Il est totalement sec. Après 9 bornes. Les cheveux du gars sont coiffés comme s’il sortait d’un brushing. A la Elvis Presley. Pas l’ombre d’un épi. Il n’a jamais passé sa main sur son front. Ce n’est pas possible. Il me dépasse avec une foulée aérienne et puissante. La foulée qu’on a au départ où à l’arrivée pour l’élan final et la « photo ».

Je soupçonne une tricherie. Cela c’est passé en pleine forêt. Pas de spectateurs à cet endroit et encore moins d’officiels/arbitres. Si je me trompe (après tout, il y en a beaucoup des + forts que moi), je m’en excuse. Toutefois j’émet ici de très sérieux doutes. Lorsque j’ai tournée la tête, surpris d’entendre une foulée se rapprocher aussi rapidement,  je l’ai vus de ¾ face et peu de temps puisqu’il était environ à 18 Km/h. Bizarre. Bizarre. Encore un gars qui aura fait un pari et qui aura triché pour gagner un repas. Si c’est le cas…….Non ! Je vais rester poli et garder ça pour moi !

 

Les 500 derniers mètres, nous sommes au coude à coude avec une coureuse de club (asop un nom comme ça jaune et vert les couleurs) qui est encouragée par un de ses collègue jusqu’à l’arrivé. J’ai un haut le coeur et je crache un peu de jus d’orange. A 200m, je crache un peu + de jus d’orange, et je suis dans l’obligation de ralentir si je souhaite ne pas vomir avant la ligne d’arrivée. La coureuse en profite pour accélérer et me larguer.  Lorsque je franchis la ligne, c’est donc au maxi de mes capacités mais sans avoir pu défendre ma place au sprint.

Je régurgite une belle quantité de jus d’orange au pied d’une barrière.

J’ai été au bout de l’effort !!

Mais j’ai tenu mon objectif de faire – de 41’. Je ramasse un verre d’eau au ravitaillement puis je me dirige vers le chrono pour encouragée l’arrivée de  Pascal. Je ne le verrai jamais la franchir le frangin, puisqu’il a été plus vite que prévu. Moins de 45 minutes pour les 10000 mètres. Il a gagné 2 minutes sur ses prétentions chronométriques.

Malgré nos surpoids et l’entraînement spécifique allégé.
Malgré une motivation parfois vacillante.
C’était un réel plaisir cette course.
Nous sommes tous deux très content de nos résultats respectifs.
Personnellement, Ce que je retiens surtout, c’est l’absence totale de douleurs aux tendons.
Plus fort encore. Je ne ressens pas de douleurs musculaires, et ce soir, j’ai déjà récupéré.

Je suis persuadé que demain, j’irais m’entraîner comme si ne rien était. Je me sens dans une forme assez proche de celle de Gretz sur Loing en juillet de l’année dernière. Maintenant, si je souhaites progresser pour retrouver mon niveau de l’année dernière, il va me falloir perdre 2 où 3 kilos, améliorer ma nutrition.

Et ce soir, cette course m’a motivée.

De retour à la maison, après une bonne douche et bonne Pasta reconstituante nous ferons une Mega sieste entre 14h et 16h.


linerunner



retour Meudon

Date: 12/06/2005
Lieux: Meudon
Distance: Trail (12km)
Commentaire: RAS
Chrono: 00:56:01
Classement homme: 43 sur environ 90


J'avais l'intention de découvrir une course de vélo aujourd'hui. Mais mon entraînement trop intense d'il y a 3 semaines à provoqué une espèce de sciatique que je ne souhaitais pas aggraver.
Réveil 6h30
Lever 8h
Départ 8h20
Arrivé 9h30 Après une petite galère pour trouver l'observatoire. Un trail donc.
Je me suis décidé vraiment au dernier moment puisque à 7h59 ce matin, j'hésitais encore à participer A cause d'alertes d'inflammations
Et oui, il semblerait que ma tendinite au talon gauche migre tranquillement vers le talon droit.
Enfin, maintenant, j'ai l'expérience, je devrais réussir à bien gérer.
8 euros l'inscription.
Dans un cadre très nature. Un beau soleil éclairait la forêt et ses arbres.
Comme toujours dans ce cas, la lumière est belle et le contraste accentué.
Magnifique journée donc, mais comme la course c'est entièrement déroulée en sous bois, l'ombre nous a protégé du risque de surchauffe.
Je n'ai jamais participé à une compétition de trail.
J'ai rectifiée cette négligence aujourd'hui.
C'est dur le trail !!
Des cotes à 15-20% parfois, dans lesquelles j'ai du marcher à maints reprises. Comme mes collègues.
J'ai réussi quelques descentes acrobatiques qui demandaient une attention extrême.
Ici pour éviter une rangée de souche d'arbre, quelques pierres, attention là les orties.
Mais le pire de tout, c'était les bouts de bois cachés par les feuilles sur l'un d'eux, mon pied d'appui s'est dérobé. Ma cheville droite a donc subie une rotation à 70°.
Heureusement, comme d'ab, j'ai plié au bon moment. J'ai toujours mes réflexes donc, je n'ai pas peur. C'est aussi pour cela que je rattrape plusieurs coureurs dans les descentes. Les même coureurs me grillaient dans les montées.
2 tours donc.
Sans pouvoir se réhydrater puisque les ravitos étaient difficilement accessibles. Nous sommes restés longtemps ensemble avec 2 autres gars (à partir du 8 ème Km).
Nous avons même discuté parfois durant la course. A l'annonce de la côte la plus difficile, j'ai d'ailleurs dis à l'un d'eux...fait chier les cotes. Je suis une gazelle moi. Pas un tracteur. On a bien rigolé.
A l'arrivée j'ai tenté de rattraper un concurrent qui avait 30 m d'avance, mais bien sur, alors que j'allais y parvenir grâce à une accélération progressive qui a fini sur ma vitesse de 200m, un gars a traversé la route et m'a gêné. Il fini 1m devant moi!
56 minutes donc pour 12 Km. Les frangins vont se foutre de ma gueule!Seule solution pour éviter l'infamie:
Les inviter à faire cette compète l'année prochaine. Y verrons les garennes que c'est pas si mal 56 minutes. A l'arrivée, nous avons discutés 3 minutes avec mes compagnons de course.
J'ai peut être intéressé l'un d'eux au ,triathlon.En tout cas, je lui est donné l'adresse Internet de l'ansa.
Après l'arrivée, récup cool autour du petit lac. Je ressens une douleur au talon droit malgré les glaçons.
C'est rageant car je suis dans une forme étincelante malgré ;mon surpoids. Je suis dans l'obligation de restreindre mes entraînements a cause de ces saloperies de douleurs tendineuses. Je suis bridé.
J'écris ces lignes dans le parc derrière chez moi sous un fort soleil. Je ressens la fatigue caractéristique de l'après course. Je suis bien. Détendu.
Prochaine compétition, certainement la semaine prochaine. Ce sera le bouquet final de ma première semaine de vacance.
Je vais essayer beaucoup de natation cette semaine. Et définitivement progresser dans ce domaine. Tout au moins les aspects techniques.
Très bonne journée sportive.


linerunner


retour Combs la ville

Date: 19/06/2005
Lieux: Combs la ville
Distance: 10 Km
Commentaire: Canicule
Chrono: 00:40:20
Classement homme: 65 sur environ 321
classement général


Acte 2 du mois de juin.

Combs la ville et son 10km.Je souhaitais me jauger par rapport à l’année dernière, avant que ma tendinite ne bousille ma progression. Le parcours a été modifié pour effectivement s’améliorer.  Plus roulant. Moins de virages qui cassent le rythme. Pour la première fois ces 10 Km étaient qualificatif au championnat de France.

Je mes suis étiré longuement avant la course car depuis jeudi, j’ai les 2 tendons d‘Achille douloureux suite à un entraînement à vma très poussé. En effet, j’ai été jusqu’au noir (j’ai vomi à la fin de ma dernière fraction explosive). 3 fois 10 fois 30’/30’ avec 2’ de récup entre les séries, sous la chaleur en plus. Soit 15 minutes effectives entre 100 et 110 % de ma vma.

De toute façon physiologiquement je suis de moins en moins spécialisé « coureur à pied ».Par rapport à l’année dernière donc :

Moins fort en course à pied (environ +2’ sur 10km)

Bien plus fort en natation (estimation  -2’ sur 500m en lac). (1km d’une traite en 23’ à Jabline Vendredi alors que l’an dernier, je faisais 13’ sur 500m)

Plus fort sur le vélo (J’ai gagné un pignon).

 Le départ a lieu, 800 m avant l’arrivée. Je remarque immédiatement le nombre très important de coureurs de club. J’apprends qu’il y a un challenge de club sur cette course Pleins de couleurs différentes dont le bleu du BSGA de Bussy saint Georges. 

La course :

 Lorsque le départ est donné, je suis très bien placé et pas du tout gêné. Je me sens si bien durant les 2 premiers Km que je les cours en 7’37. Mais avec la canicule je vais vite me calmer et inexorablement mon temps on kilomètre dégringole alors que ma température corporelle s’envole. Il fallait mieux pas qu’un moustique se posa sur mon front, il se serait cramés les pattes !Si l’on m’avait jeté alors  dans un camion frigorifique, Bonjour le nuage de vapeur. J’aurai opacifiées les vitres et il aurait fallu les grattées….et moi avec !

Les pancartes indiquant les distances attirent mon attention. Cela à partir de la quatrième pancarte. C’est un signe que ça devient dur  là! Aie aie quoi !J’exploite la moindre zone d’ombre et j’utilise au mieux l’épongeage et les ravitaillements en eau. A la fin du dernier tour un bénévole sympa nous asperge au passage. C’est spécial les fortes chaleur. Tous les repères habituels sont dynamités à chaque degré supplémentaire. C’est rare que je me fasse dépasser sur 10 bornes après le 4 ème kilo pourtant après le 6 ème kilomètre. C’est arrivé à plusieurs reprises.

Allez, voici quelque unes de mes excuses »bidons » en vrac :Je ne souhaitais pas non plus me livrer totalement. Un peu anxieux de vomir si je maintenais un effort trop élevé(mauvais souvenir de jeudi et de Pontault aussi).Une inquiétude sur l’état de mes tendons et surtout, la semaine prochaine, Ce sera mon premier triathlon de la saison à Souppes sur loing. Il fallait donc que je conserve un peu d’influx nerveux.

Quoiqu’il en soit, je ne serais jamais passé sous la barre des 40 minutes aujourd’hui et  j’ai couru à 99.5 pour cent de mes capacités.

Une mamie d’environ 80 ans participait à la course. Je lui ai pris un tour, non sans oublié se l’encourager. C’est quand même mieux que « les feux de l’amour » un 10 kilomètre. Bravo madame ! 

Les 2 derniers kilomètres, ma fréquence cardiaque augmente, et malgré tout, je trouve les ressources pour courir un dernier 400m incroyable. J’ai dépassé 5 concurrents en file indienne, dont le plus proche avait au minimum 30 mètres d’avance. A Chaque fois que je passai l’uns d’eux, le gars tentait de répondre. Mais j’ai tenu et accélérer  le rythme. Même le dernier de cette série donc que je n’ai dépassé qu’a 50 mètres de la ligne d’arrivée et après avoir « sprinté » 350 m. Il est parvenu à tenir ma foulée 5 mètres. J’ai crains un moment qu’il ne puisse me reprendre, j’ai donc donné un deuxième coup de rein. Et à ce moment, je l’ai entendu abdiquer. Le speaker a commenté mon arrivée. Ca fait toujours plaisir.

Voilà, il était là le bénéfice de mon dur entraînement de Jeudi. J’ai pus maintenir l’effort (et même l’amplifier) sur ce 400m jusqu’au bout. Un autre paramètre aussi.

Merci maman de m’avoir fabriqué avec plus de fibres rapides que la moyenne. En fait, quand j’y pense, à l’origine, j’étais fait pour les courses explosives et pas les courses de fond. Étant gosse, Sur 50m je ne me souviens pas avoir été battus par des gamins de mon age mais je me traînais plutôt dès qu’il s’agissait de faire plusieurs tours de piste. Physiologiquement je suis donc plutôt sprinteur que coureur de fond.

 Sitôt arrivé, je me jette comme tous les copains sur les gobelets d’H2O et j’en vide, et j’en vide, et j’en…..Je retourne pour applaudir tous ceux et toute celle qui arrive ensuite. C’est beau à voir toutes ces personnes qui vont au bout d’elle-même. Et elle vont au bout d’elle-même jusqu’au bout. J’ai vus des gars sprinter et se démener pour la deux centième place. Bravo ! Voilà l’esprit de la compétition sportive.

Plusieurs malaises à l’arrivée aussi. Des coups de chaud. Des gens allongés au sol, cherchant leur souffle comme on dit et réhydratés par les soins des équipes de la croix rouge. Rien de grave à priori.

J’ai discuté un peu avec le chronométreur, et il m’a dis qu’environ 320 personnes était arrivée. Du point de vus de l’organisation. Bravo !Le speaker était vraiment super. Les bénévoles était nombreux. La course très bien sécurisée. Les ravitos bien placés. Le parcours rapide.

Seul bémol ; s’il faut en trouver un : Le départ et l’arrivée séparés par 800 mètres.

Je suis resté jusqu’à la remise des médailles. Nous avons tous applaudis les vainqueurs dans les différentes catégories. Puis retour peinard à Bussy. Enfin peinard. Je suis inquiet sur l’état de mes tendons ! Froid, Voltarene, massage. C’est reparti. ça fait chier quand même, mais je vais tacher de rester sur le fil !

Je suis impatient d’être à la semaine prochaine.

J’ai bien profité de cette semaine de vacance pour m’entraîner, et, si je ne crève pas à VTT, je devrais réussir une course sympathique dimanche prochain. C'est incroyable, mais je n'ai même pas eu besoin de faire la sieste cet après midi


linerunner




retour Souppes sur loing

Date: 26/06/2005
Lieux: Souppes sur loing
Distance: triathlon (500m,21km,6.2km)
Commentaire: chaleur
Chrono: 01:43:36
Classement homme: 44/88 arrivants (93 au départ)

 

En petits morceaux à l’arrivée. En petits morceaux ce soir.

Mais ça va, ils se recolleront bien mes petits morceaux.

A Souppes-sur-Loing dans le sud 77, où j’ai de nouveau vécu une expérience sportive intéressante et instructive.

Je suis parti à 11h30 avec la crainte qu’il ne pleuve. Alors que depuis une semaine, une forte  chaleur occupent les éditoriaux des journaux télévisés, ce matin, la météo prévoyait évidement des orages violents pour l’après midi.

J’ai même subis (avec délectation pour la fraîcheur) une où 2 belles ondées durant le trajet aller.

Je pensais rallier souppes pour rien. Dans le genre course annulée, cause orage avec foudre et tout et tout !!

Mais j’avais aussi en tête la chance extraordinaire que j’ai en règle général concernant le temps lors de chacune de mes compètes.Et ça n’a pas loupé. Encore du bol…Mais étais ce réellement du bol au vus de la suite des événements ???? Jugeons en !

Arrivé à 12 h30, je m’inscris tranquilou et je peaufine mon matériel..

Je commence par couper les lacets de mes running qui sont trop long

Je cale mon VTT dans son rack. L’indexation a été avant-hier réglé par un pro . Il arbore le numéro 65 le cadre de mon VTT. je suis très serein avant la course. Mes douleurs aux tendons ont disparus depuis 3 jours.  j’ai mangé mes pâtes vers 10h30. Bien digéré et impatient de découvrir mon potentiel sur cette compétition.

Lorsque le starter nous libère, j’attaque cette course en savourant le moment présent. 

Natation :

L’eau est vraiment bonne dans ce grand lac. Comme je m’y attendais, les premiers mouvements sont altérés par la promiscuité. Et oui, 93 otaries au départ de la nat réunis dans 30 m2, it »s the résult. Ca cogne de partout et je cogne un peu aussi pour faire ma place. Épaule, pied, main, coude, crâne, tout y passe. Je reste tranquille malgré ce départ mouvementé un peu brutal. Pour commencer, je me cale derrière 2 nageurs et je me règle sur leur vitesse. Au fil des minutes, les espaces se créent et je peux vite adopter mon rythme.  Je lève souvent la tête pour visualiser ma trajectoire et les obstacles où concurrents éventuels à contourner. Peu à peu, je me concentre sur des sensations nouvellement apprises en natation. Respiration, pression constante sur l’eau et allonge. Ce n’est pas encore  naturel pour moi ces techniques.

Au passage de la 1 ère bouée, je suis obligé de freiner mon élan car nous sommes tous resserrés à cet endroit. Nous voulons tous couper au plus court. 2 Autres bouées balisent le parcours et  provoquerons les mêmes tassements.

Au 2/3 du parcours, je dépasse plusieurs nageurs qui ont adoptés la brasse car ils sont fatigués. Je sors de l’au avec précaution puisque la zone de transition commence au milieu des gros cailloux de la rive. Pas top. Je suis alors à peine éprouvé. Même pas une crampe. Au prochain triathlon, il faudra vraiment que j’appuis plus dans l’eau et plus rapidement. J’ai perdu du temps, mais heureux d’avoir tenu aussi bien toute la distance en crawl. Arrivé au parc à vélo, je m’approche tranquilou de mon VTT, m’essuie un peu le visage, , je m’applique pour sécher mes pieds avant de chausser mes running, je met mon cuissard après une courte hésitation (je le met où pas ?)….gag…je me rendrais compte après la course que je l’ai finalement mis à l’envers (la peau de chamois pas visible quand même, je ne suis pas encore neuneu à ce point là) !!!!          J’ai encore pris mon maillot fétiche qui comme d’ab me colle à la peau et refuse de glisser sur mon corps mouillé (bon ben finalement si, je suis peut être neuneu à ce point là).

Résultat de la transition nat-vtt, catastrophique.

J’observe un bonne dizaine de concurrents arrivés après moi me dépasser. J’ai laissée facilement 1minute que je n’avait pas lieu de perdre. Tant que j’y suis, la prochaine fois pourquoi ne pas allumer une petite clope. J’étais à moitié spectateur lors de cette transition.

 Le VTT :

Le premier kilomètre de Vtt me recale tout de suit dans la réalité.

Hors de l’eau, la chaleur va nous en faire baver. Des fusées humaines me dépassent et j’ai l’impression de rétrograder indéfiniment. 2 tours du lac, un peu de sous bois agrémentés d’une belle petite côte..Plusieurs concurrents poseront pieds à terre face au 20-25% de cette grimpette. Pas moi. En calant la vitesse minimale de mon vtt, je suis parvenu à la franchir, debout sur les pédales et par la même de dépasser 2-3 pilotes. A un moment, nous traverserons même les ruine d’une maison briarde en pierre calcaire. Un vrai champ de mine ! Des blocs gros comme des parpaings qui occasionneront la chute d’un de mes prédécesseurs. Aucun problème, attention, une chute à 6 Km/h qu’il a parfaitement amorti le collègue. Enfin, j’avoue que je le collais certainement de trop près à cet endroit technique et que ma petite pression n’est pas étrangère à sa gamelle. Je ne suis pas très fier de moi sur ce coup là. Même si, ça fait parti du truc « compétition ».Mais ce n’est pas là l’expression de mon idéal sportif.

Je suis surpris par ma seconde boucle vtt sur le parcours. Je rattrape plusieurs pilotes qui m’avaient dépassés juste après la première transition. Je parviens à chaque fois à doubler puis à relancer fortement jusqu’au prochain concurrent. Je m’épate sur la qualité de mes trajectoires  et la façon dont je gère les quelques passages techniques. (Mais non je n’ai pas les chevilles qui enflent) .Une descente particulièrement, un espèce d’a pic que j’aurai hésité à franchir à l’entraînement. Là, je n’ai même pas ressentie l’ombre d’une crainte. Je me suis jeté dans ce trou, sans aucun doute. Et c’est passé sans problème ! Comme quoi, en compétition on a des problèmes de lucidités (en plus où en moins ?!?!) En bas de la pente, j’entendrais l’uns des organisateurs dire ouf, il est passé. Au prochain triathlon auquel je participerais, il aura moins de crainte le gars ! smile !!

Seconde transition, du vtt à la course à pied..

Je cale précautionneusement mon vtt sous son number 65.

Je m’essuie, bois, m’asperge et récupère un peu avant de repartir.

Le premier kilomètre est terrible. Je ne cours pas à plus de 9 km/h La chaleur est épouvantable et tous mes sens sont déconnectés.Je suis un pauvre erre à la cage thoracique en feu et qui ne comprends plus ses jambes. ça la fout mal pour un soit disant coureur spécialiste. A cet instant, j’ai les boules et des coureurs me dépassent franchement. Un point de coté en profite pour en rajouter une tartine sur ma pequena détresse. C’est bien la première fois que j’ai ce genre d’alerte.Les champions me prenne un tour, ils finissent le triathlon alors qu’il me reste 3.2 kilomètres à galérer !

Mais voilà voilà. Il reste un tour autour du lac et il sera bien réconfortant ce tour !. Va savoir pourquoi ? Encore la magie du corps humain. Où ma caisse (antécédent sportif activables par le corps) comme dis Patrick. C’est donc à mon tour de jouer. je dépasse franchement plusieurs potes  de la journée à la suite. J’en dépasse encore un à 200m de l’arrivée. Je l’entends même débiter un petit « enculé » dans le genre enculé ….j’peux rien faire pour contrer, je suis rétamé !

 

Enfin, j’espère que c’était ce genre « d’enculé ». J’allais tout de même pas m’arrêter lui demander des précisions et  Après l’arrivée, très franchement j’avais autre chose à gérer.J’ai accélérer encore alors qu’il tentait de soutenir le rythme et ma foi, je ne suis pas mécontent du petit hoquet plein d’au secours qu’il a poussé alors. A mon avis il a pas du apprécier mon petit sourire!  Enfin bon, je sais aussi que les« mauvais perdants » ça existe.

Je souffle comme un taureau depuis 1h30 déjà (pas dans l’eau le souffle du taureau, j'étais peinard dans la pataugeoire) Je franchis la ligne avec les gestes qui vont bien lorsqu’on est content d’être arrivé et plus encore, lorsque je lis le chrono qui m’accueille.Je m’attendais à 1h50 et je lis 1h43.

Géant.

Par contre, je me précipite à la table de ravitaillement et j’avalent 5 gobelets pleins d’affilés..Je me trouve un endroit à l’ombre d’un arbre pas loin…sinon ça aurait été trop loin !Et je me laisse aller à ma fatigue. J’ai tout donné au vu des conditions. C’est rare que je soit ainsi altéré juste après une compétition. D’ordinaire, le contre coups, c’est de 2 à 6 heure après !C’est incroyable ! J’ai le corps luisant et dégoulinant comme jamais. On dirait que chaque pore de ma peau pompe toute l’eau de mon métabolisme vers l’extérieur. Je transpire plus que Johnny en concert.Lorsque je remue ma tête. Toutes les trente secondes, c’est une pluie qui dégringole de mon front et de mes sourcils.Je ne me souviens pas avoir plus transpiré de toute ma vie.D’ailleurs le bilan hydrique, c’est environ moins 1 litre depuis ce matin malgré 4 litres bus. Si ça avait été du gros rouge……Imagine par cette chaleur. Coma éthylique assuré. 

Bilan de la course.

Satisfaisant au cas où il faudrait le préciser.

68 ème position sur le chrono natation.

52 ème sur VTT

32 ème sur la course à pied.

Malgré mes impressions négatives, en fait j’ai énormément rattrapé.

Tout cela m’emmène à la 44 ème position finale sur 88 arrivants.

C’est très proche du classement que j’avais prédis à Pascal.

Par contre, j'ai des douleurs persistantes aux dos depuis des semaines.Elles s'accentues en plus.Il va falloir que je consulte. Fais chier, fais chier, fais ch....


linerunner




retour Gretz sur loing

Date: 24/07/2005
Lieux: Gretz sur Loing
Distance: triathlon (500m,18km,5km)
Commentaire: nouvelle combi trifonction
Chrono: 01:18:51
Classement: 64/110
Mal aux dents, mal aux tendons, mal au dos.
Voici classé dans l'ordre le trio gagnant de mes bobos de la semaine.
Le problème, c'est que c'était l'arc de triomphe cette semaine et tous les trois étaient hélas très en forme.
RAF (rien à foutre)car moi aussi j'étais en forme malgré tout ça et surtout avec l'envie d'y aller.
En plus, j'ai récupérer un poids convenable pour la compétition. 67 kg ce matin, soit 4 kilos de moins qu'indiquait ma balance cet hivers.
Encore un petit effort et je serais au top.
Gretz sur Loing donc pour la seconde fois.
Le matin comme par hasard, la pluie tombait sans discontinuer.
En début d'après midi, elle s'arrêtera...évidement.
L'avantage, c'est que la température est idéale pour une compétition de fond!
C'est toujours aussi bucolique gretz. Joli petit coin avec un pont de pierre et une rivière.
Papa et pascal sont arrivés samedi soir pour assister à la course.

Le CR
J'ai failli louper le départ.
Je m'attendais à 15 h et il aura lieu à 14h45. Merci Pascal qui aura fait la navette en urgence vers la Mégane pour m'emmener les affaires (chaussures, cardio...).
14h42: brrr l'eau est froide. Tous les nageurs s'activent dans l'eau; nous discutons sur ce thème.
Je dirais environ ,19°.


14h45: heureusement, nous sommes vite lâchés et au début, je calque ma vitesse sur celle de mes prédécesseurs mais ce faux rythme m'exaspère et j'accélère. Évidement, je me chope quelques coups de pieds sur les mains et je me retrouve obligé de couper mon rythme pour éviter les coups sur la tête.
Je suis assez confiant pour la natation et surtout je n'ai plus la crainte de ne pouvoir tenir la distance, car à l'entraînement, je nage sans problème 2 fois plus long et mes derniers chronos sur mes '"parcours" en lac prouvent une progression linéaire.
Il y a des bancs de pierrailles où l'on a pied et certains se lèvent et courent sur 50m parfois. C'est un peu de la triche, mais ce n'est pas facile de nager dans 60 cm d'eau. Cela dis, je ne l'ai pas fait ca (courir)!
200 m passent, je suis toujours entourés et précédés ,par des nageurs un peu plus lent que moi, je passe donc en force sur la gauche après moult effort pas très efficace et je me retrouve de nouveau bloqué.Pas de bol, j'ai pas choisi le bon coté et une nouvelle tentative sera toute aussi vaine pour m'extraire du banc de "requin" qui m'encercle et qui me bouffe des secondes, voir des minutes!. A mon avis je ne suis pas le seul à endurer cette torture.
Ca va un peu mieux juste avant la bouée des 300 m, mais elle est vite là la bouée et tout le monde se concentre autour pour virer au plus serré et perdre moins de temps possible.
Peu après ce passage délicat, il me semble bien avoir donné un coup de tête (bien involontaire)à une nageuse.
Sur l'instant, j'étais ,persuadé que c'était une branche entre 2 eaux que j'avais percutée.
Mais j'ai entendu gueuler
peut être 10 secondes après ce "choc" (pas si violent mais ressenti).
C'est bizarre quand même, j'ai encore le doute que ce soit moi qui ai frappé la nageuse qui se plaignait!
Après tout elle a peut être elle aussi éperonné ce corps étranger entre 2 eaux?
J'ai tout de même l'intuition que c'était moi le corps étranger!!
Quoiqu'il en soit, elle n'a pas du avoir trop mal puisque les sur 200 m restant, elle me prendra 15 m d'avance.
Mais j'ai du zigzaguer durant ces 50 m de natation.J'ai peut être nager 550 m en fait.
Je sors de l'eau en faisant bien gaffe au clou qui dépasse et que je repère sur le chevronnage qui maintien la terre de la berge.
Voilà, c'est la transition natation/vélo.
J'ai gagné pas mal de temps lors de cet enchaînement par rapport aux autre triathlons car j'ai acquis une combi tri fonction la semaine dernière.
Fini les galères avec les changement de vêtements long et énervants. La tri fonction, comme son nom l'indique me sert :
pour la natation puisqu'elle est très ajustée au corps, ce vêtement, n'handicape pas la nage.
Pour le vélo, une petite chamoisine protègent les "parties fragiles" de l'agression de la selle.
Pour la course à pied, le tissu est très flexible et ne gêne pas les mouvements du coureurs.
Je suis encore un peu lent quand même sur cette transition, il faudra que j'améliore encore et que j'arrête ma sieste.
C'est partie pour le vtt Je suis également assez confiant de mon entraînement à vélo et cela se passera effectivement très bien. Le sol était assez glissant cause des pluies de la matinée et les sous bois parfois limite dangereux.
Grâce à mes réflexes, j'évite une grosse gamelle notamment.
Pied à terre en 1/10 ème de seconde qui m'épargnera de goûter au terreau du sous bois!
Je double environ 20 vététistes durant les 40 minutes d'effort techniques à 2 roues.


Je suis surtout content de la qualité de mes relances! Je me souviens parfaitement l'année dernière de mes difficultés a reprendre une vitesse efficace après un effort un peu intense.
C'était flagrant aujourd'hui, même s'il reste beaucoup de progrès à réaliser, j'appuie sue les pédales bien plus fort et + fréquent à la sortie d'un virage où en haut d'une côte qu'auparavant.
Je finis assez fort et je double 2 gars juste avant la ,transition vtt/course à pied.
Qui ne se passe pas terrible la transition.
En effet, j'ai perdu mon dossard durant le vtt et je décide de détacher mon numéro de vélo pour l'utiliser comme dossard CAP.
Je dois d'abord dénouer le fil de fer qui le maintient sur le vtt et je perd une minute.
Je démarre pour la course à pied en présentant mon dossard "substitué" avec une petite crainte quand à la performance à venir.
J'ai mal au tendon gauche. Je boitais même avant la course. A cause de mes tendinites, je n'ai pas pu m'entraîner en course à pied pendant 2 semaines. J'ai donc échoué dans cette discipline alors qu'elle était mon point fort auparavant.


Pas mal de "collègues" m'on dépassés. 13km/h de moyenne pour 5 Km alors que l'année dernière j'étais à 14,5 km/h.
Vivement que mes soucis tendineux me laissent tranquille.
(Une semaine après la course, c'est très bizarre, mais je n'ai pas de douleurs aux tendons.???
Tant mieux, mais j'aimerais comprendre!)
Voilà voilà.
Pascal à filmé un peu la course et en vidéaste éclairé à trouvé quelques bons petits scénarios de course à filmer.
Papa a compté ma progression au classement selon les différents tours. J'espère qu'il a quand même profiter du "spectacle" (nous sommes passé 4 fois en comptant l'arrivée devant les spectateurs sur la zone de transition. Ca c'est bien pour les spectateurs.

En résumé, même si j'aurais pus mieux me classer au général, je suis assez content de ma progression en natation et en vélo.
Mécontent par contre de ma grosse défaillance en course à pied.
2 sur 3, c'est plutôt bien. Et surtout, j'ai encore pris beaucoup de plaisirs durant cette petite course.
Et ma fois tant que je ressentirai cela, et malgré mes douleurs physiques qui handicapent mon entraînement.
Je continuerai dans la voie du sport et de la progression individuelle!


linerunner




retour Grande Paroisse (la)

Date: 04/9/2005
Lieux: Grande paroisse (la)
Distance: triathlon (500m,15km,5km)
Commentaire: chaleur
Chrono: 01:19:26
Classement: 47/120

Une alerte ce matin lorsque je me suis levé, sous la forme d'une violente douleur au dos que j'ai vainement tenté d'attendrir par des étirements.
En fait, elle passera grâce à l'effort de la compétition.
La check List de la liste noire de mes bobos physiques était presque blanche donc aujourd'hui. Plus de douleurs aux tendons ni aux dents et une grosse envie de bien faire.
Arrivé a la base nautique de la grande paroisse,J'ai l'impression étonnante d'y être venu la semaine dernière, or cela fait un an! je me gare, vais chercher mon dossard et j'entends les organisateurs s'interroger sur le nombre de participants. Ils ont prévenus la préfecture pour 120 maxi, hors je récupère le numéro 109, il reste du monde derrière moi et encore 1 heure avant le départ.
Une vraie réussite pour l'organisation. Bravo et c'est mérité!
L'ambiance générale apparente fleurait bon la tranquillité.
Comme d'ab. Et nous sommes lâchés à 14h30 sous une grosse chaleur.
+ de 30°. La natation se déroule relativement bien. J'ai du faire le bouchon par moments(patauger et me tenir droit dans l'eau) pour éviter de tamponner trop brutalement mes prédécesseurs.
Quelques coups reçus, quelques autres
donnés malgré tout.Comme d'ab aussi. Mais c'est mieux quand même car je suis libéré de la crainte de ne pouvoir tenir la natation sans épuisements et donc, je me concentre plus sur mes sensations de vitesse et d'optimisation.
Arrivé sur la berge, je glisse la sangle de mon dossard improvisé autour de ma taille.
J'écris improvisé car comme j'avais oublié mon porte dossard, j'ai utilisée la sangle de mon cardio fréquencemètre à cet usage. Eh, oh, je ne voulais pas percé ma combi trifonction avec des épingles à nourrices.
Bonne improvisation efficace et rapide à vêtir cette soluce.
Arrivé au parc VTT, je me chausse sans lacés mes Nike (très efficace sur courte distance)et me casque vitesse grand V. C'était aujourd'hui ma meilleure transition natation/VTT.
GO pour 15km de vtt sur chemin et forêt où la seule difficulté prendra la forme d'une colline assez abrupte ma fois et qui me coûtera ma seule erreur à vtt. J'ai engagé une vitesse ans la pente et évidement, elle a refusée de passer J'ai réparer mon manque d'anticipation en descendant de la selle et en passant la vitesse en tournant les pédales à la main.
Vite fait bien fait puisque je rattraperais les 2 seuls concurrents qui ont profités de mon désagrément mécanique pour me dépasser.

J'ai pris un coup de guidon sur mon genou droit et mon pouce droit est irrité par des petits chocs répétitifs sur ma manette d'indexation. J'ai bien doublé en VTT. Mais je suis moins à l'aise que je ne l'escomptais dans les cotes. Ca va être difficile pour moi à Corbigny la semaine prochaine. A l'arrivée VTT, je me suis un peu emmêlés les pinceaux pendant 10 secondes pour descendre du vélo.
Évidement, c'était devant tous les spectateurs.
Un peu nerveux quoi!
Transition Vtt CAP que je réalise très rapidement! Efficace là encore. Un bon feeling les 2 premiers Km de running.
Surtout parce que je ne ressent aucunes douleurs au tendon d'Achille.
Je me suis beaucoup préservé depuis plus d'un mois et ça paye!
Un point de coté après une dizaine de minutes de CAP quand même. Je suis parvenu au fil des Km à le résorber en soufflant profondément!
J'ai doublé plus que je ne me suis fait rattraper en CAP également!Jusqu'a 100 m avant la ligne blanche finale où je reprend un triathlète de l'ansa qui me paraissais inaccessible 2 Km auparavant.
Sur cette ligne, mon chrono indique 1h29'26 et d'après un gamin qui ,nous comptaient et qui nous annonçaient nos places.je serais autour de la 50 ème position.

Au ,ravito, je me jette sur les gobelets d'eau et surtout, surtout....oh suprême récompense!
Après 5 minutes de récup, je retourne m'immerger dans le lac de la base de loisir du camping.
Ah...c'est incommensurable le plaisir de la fraîcheur, même si au début, il a fallu un peu de courage pour plonger mon corps surchauffé dans un lac alimenté par l'eau de la Seine (70 Km avant Paris, c'est moins pollué je pense)!
Petite anecdote: J'ai retrouvé un fil de grillage entourant l'uns de mes rayons lorsque j'ai récupéré mon VTT pour le caser dans mon coffre. J'espère que c'étaient des gamins qui déconnaient et non pas un concurrent qui m'aura fait une crasse volontaire!
Assez fatigué après la course et pas trop lucide quand même.
La preuve: De retour à la baraque, je jettent mes affaires puantes et quelques autres dans le tambour de ma machine à laver, puis je lance le programme.A la fin de l'essorage, je réalise que j'ai oublié de mettre de la lessive dans ma lessive.... Bis répétita...mais sans négligé l'essentiel pour la seconde tournée!
Bonne fatigue donc ce soir, mais toujours des douleurs dorsales qui migrent parfois devant au niveau des reins on dirait. J'espère que c'est juste musculaire comme le l'indiquait ma doctoresse en Juin et pas grave
Vivement ma prochaine course. Enfin , c'est une façon de parler, en fait , je suis mort de trouille à l'idée de parcourir plus de 100 Km en vélo et sur un parcours comportant des montées.
Même si je suis un peu entraîné, j'ai de gros doutes sur ma capacité physique à gérer ce genre de rigolade.
A voir....et on verra!

linerunner




retour Corbigny

Date: 11/9/2005
Lieux: Corbigny (58)
Distance: Cyclosportive 100km
Commentaire: RAS
Chrono: 03:28:20
Classement: 62/119
scratch


Pfouff. Ca, c'est le bruit de mon pèse personne ce soir 2 jours après la course.
Je me suis permis suffisamment d'écart diététique pour que newton me rappelle à l'ordre.
Mais il m'est quasiment insurmontable de contenir cette envie de sucré après un effort de 3h30.
Patrick, Pascal, les parents et moi, nous nous sommes retrouvés Samedi dans un pavillon loué sur une bonne idée de Patrick.A Corbigny au sud d'Auxerre dans la Nièvre. Nous participerons avec les frangin à la première édition de la jean François Bernard.La cyclo des lacs du Morvan. Ce sera ma première cyclo-sportive. Eh oui, du vélo..
Lever Dimanche 6h30.J'ai très mal dormi. Un départ au frais (environ 10°)prévu et effectif à 8h. Une température idéale tout le long de la course
Patrick s'envole immédiatement vers des cieux sportifs qui brillent en tête de course pendant que nous nous accrochons en queue de ce peloton principal avec Pascal durant une bonne vingtaine de minutes.
C'est un peu trop rapide pour nous et lorsque nous ralentissons nous nous retrouvons isolés et un peu dans l'expectative.
J'en suis même à me demander si nous sommes derniers? Pascal me rassure en pensant que je plaisante.
Que nenni. Le train multicolore est partis devant, parmi les dernières images de ce train, nous apercevrons d'ailleurs Patrick répondre à une attaque,c est l'échappée décisive à laquelle nous venons d'assister.Les gars des podiums sont là!
Mais nous, nous décrochons donc, et j'ai beau me retourner, c'est le grand calme derrière.
A rendre jaloux plus d'un parisien dans les bouchons!
Finalement après 15' d'effort solitaires, nous intégrerons le second groupe qui nous rejoint, et avec lequel nous roulerons quasiment jusqu'à l'arrivé.
En tout début de course, j'ai parfois hésité à prendre l'aspiration des coureurs qui me précédaient, et comme disent les cyclistes, j'ai donc fait l'accordéon et dépensé de l'énergie inutilement.
J'ai pris peu à peu de l'assurance et à a fin de la course, je gérais assez bien ma position dans un groupe pour qu'elle soit "confortable".

Anecdotes de course:

-Dans un court moment de déconnection mentale, un faux mouvement m'a expédié sur le bas coté de la route.
J'ai donc roulé une vingtaine de mètre dans l'herbe avec le bon réflexe d'attendre suffisamment que le goudron soit au même niveau que l'herbe avant de me remettre sur la route. Ce faisant, ma roue arrière, à touchée la roue avant d'un coureur.
Sans bobos heureusement.Fiou... coup de chaud rétrospectif. mais sur le moment, honnêtement, RAF (rien à foutre). Seule comptait la suite des évènements!
Il aurait pu anticiper un peu ce collègue et me laisser la place pour revenir sur la route...la fatigue aussi!

-En me ravitaillant, le papier de ma barre chocolat céréales c'est envolé. J'ai entendu un cri derrière moi.
Nous étions une bonne dizaine dans ce groupe et évidement, c'est Pascal qui c'est récolté mon bout de papier, et surtout la grosse peur de sa course pour lui puisque sur l'instant, il pensait que c'était un oiseau qui l'avait prit pour cible. J'en rigole en écrivant cela..c'est pas sympa je sais! Je ferais plus attention dorénavant.Il aurait pus se gameller.
Je me suis bien ravitaillé au fait puisque j'ai pu maintenir l'effort jusqu'au bout malgré quelques alertes de crampes à partir de 3 h de course, Je les gérerais impec et parviendrais malgré cela à accélérer.
Bien la solution isostar dans les bidons. Un peu de glucide qui m'ont soutenus...est ce que je ne serais un peu doper???

-Je me suis arrêter à chacun des 2 ravitos prévus sur le parcours. Nous échangerons quelques mots sympas avec les bénévoles!
Avec les coureurs aussi d'ailleurs. On peux discuter parfois à vélo! Chose quasi impossible en course à pied!
Comme il me restera du liquide dans les bidons à la fin de la compétition, cela signifie que je me suis arrêté une fois de trop.
Finalement, c'est moins difficile que je ne pensais de se ravitailler en vélo. Ok, il faut tout de même se concentrer sur les gestes et le bon moment, mais c'est tout à fait réalisable!
Par contre, les arrêts ravitos m'obligerons à fournir un effort assez important pour recoller au groupe.
Pascal me le fera d'ailleurs remarquer!

-Nous discutons avec pascal parfois, à un moment, pour déconner et alors que je revenais d'un des arrêts ravitos, je l'ai un peu aidé sur une montée en le poussant par la selle....Allez juste 10 mètres c'était juste pour déconner et certainement pas pour tricher!
Nous parlerons aussi de mon vélo un peu lourd, 12 kg qui ne m'empêcherons pas de me débrouiller dans les montées, puisque je serais souvent devant notre petit groupe lors des ascensions ni de prendre ma part de travail sur le plat.
J'avais décidé avant la course de ne pas me comporter en suceur de roue professionnel. Je pense que je suis parvenu à mon objectif puisqu'un coureur coureur m'a remercié en haut d'une côte pour mon boulot dans le groupe....accélérations comprises pour dynamiter de temps en temps.
J'utiliserai souvent les descentes pour recoller à des groupes, et souvent aussi, j'ai du freiner lors des descentes, puisque mon vélo était un peu plus lourd que la moyenne, je descendais plus vite et j'ai bien usés mes freins hélas par moment. Cela dis, cela m'a certainement évité une gamelle d'anthologie
puisqu'à la fin, je descendais réellement très vite et parfois un peu dangereusement. Hé oui, la route n'était pas totalement fermée et des voitures montaient en face.

-Je franchis la ligne en compagnie de 3 collègues d'échappée, tranquillement. Nous décidons d'attendre les podiums et le tirage au sort de la tombola. Bien nous en pris:
Bien qu'ayant fini 4ème senior homme (catégorie D), l'absence du troisième officiel lors de la remise des récompenses permettra à Patrick de monter sur la troisième marche du podium.
A la tombola:Pascal a gagner un jeu de pédales look d'environ 100 euros! 115 grammes présentées dans un écrin comme un bijou.
Perso, lorsque j'ai ouvert le sac contenant le sempiternel tee-shirt offert aux arrivant, j'ai eu la surprise d'y trouver une mini pompe. Quand je pense qu'un quart d'heure auparavant j'espérai que le tirage au sort de la tombola m'élise pour une mini pompe!

Voilà journée quasi parfaite donc!
Tout le monde est en forme. Parents, frangins et moi!
Encore un bon souvenir!
C'est chouette le sport!

linerunner




retour Montereau

Date: 09/10/2005
Lieux: Montereau
Distance: 10 km
Commentaire: RAS
Chrono: 00:41:06
Classement: 216/627
classement général
J'étais motivé pour 5, j'en ai fait 10 des kilomètres.
Même pas mal. Il y a des dimanches comme ça.
Avec Pascal, nous courrons ensemble les 2 premiers kilomètres de cette course de Montereau. Et nous sommes partis bien trop rapidement! Surtout pascal d'ailleurs.
Durant 10 Km, J'ai ressentie l'impression bizarre de me dépenser énormément pour un faible rendement. Autrement dis, les kilomètres me semblaient à rallonge. Des hauts et trop de bas durant les 41 minutes de la compète. Un gros coup de frein notamment entre le 6 et le 8 Km avant de retrouver de meilleures sensations grâce à de profondes expirations et un geste plus fluide. Je finirais en sprintant les derniers 200 m rattrapant ainsi 4 à 5 coureurs. Mais le sixième a triché un peu puisqu'il a placer sa main sur mon torde pour prendre appuie et me freiner. Il franchis la ligne devant moi et je lui serre quand même la main car c'est comme un réflexe qu'il a eu, il m'a aperçu au dernier moment. Enfin bon.. la réalité c'est que ce gars là était foncièrement antisportif. Compétiteur, mais antisportif, selon mes critères! J'ai vraiment forcé lors du sprint car je vomi un peu à l'arrivée et une bénévole prévenante vient au nouvelles, je la rassurerai bien vite. Résultat: 4minutes de plus qu'il y a 2 ans, j'ai beaucoup régresser en course à pied. Je suis moins spécialisé qu'avant et mon entraînement "triathlète", ainsi que la gestion des entraînements du aux faiblesses de mon tendon d'Achille. Donc............ régression spectaculaire. ça fait un peu chier d'ailleurs! Je suis d"écu aujourd'hui donc, mais nous ferons mieux Dimanche prochain avec pascal pour la chell'oise. Mardi (2 jours après montereau), nous avons fait un entraînement run and bike en ligne quasi à fond et avons parcourus 10 Km en......36'35...INCROYABLE. Vivement dimanche prochain, que l'on efface ce mauvais souvenir sportif et notre demi échec de dimanche donc.

linerunner




retour Chelles

Date: 16/10/2005
Lieux: Chelles (60)
Distance: run and bike (18km)
Commentaire: Comme un cross
Chrono: 01:14:42
Classement: 18/46
Il va prendre sa voiture, conduire presque 600km pour rentrer chez lui.
Je ne sait pas comment il fait le frangin.
Moi: La sieste d'une heure m'a parue 10 minutes. Ce lit est plus confortable que d'ab après un effort intense! j'y suis étalé dessus après avoir frôlée l'hypoglycémie (ai vus les étoiles) voici 2 heures de cela!
Et contrairement a ce que les mots écrits ci dessus, laisserai à penser, mon sentiment général est largement positif après cette course de Chelles.
Ce Chelles là, c'est un petit village picard et rural à souhait.
D'ailleurs le parking, c'était un pré à vache avec de belles bouses bien rurales elles aussi. Pas grave, on a fait un peu de slalom!
Nous avons un peu galérer pour trouver la course, je me suis planter sur la direction (à cause d'un plan merdique éditer sur le net). Pas grave.
Dans l'urgence, j'ai achetée une carte de l'île de France. Elle ne manquera plus comme ça!
Avec Pascal, nous avons passé la semaine à tenter d'anticiper les conditions d'une telle épreuve. C'était en effet le premier run and bike de notre carrierette sportive! Nous avons élaborer tout un tas de tactiques selon les configurations de course.

Le CR:
Pan,Les coureurs à pied s'élancent en premier. J'en fait partis. Les vététistes serons libérés 6 minutes après nous. Cela évitera un bordel monstrueux!!
Pascal me rejoindra en moins de 20 minutes et environ 10 ème pilotes sur la vingtaine de concurrents qui me précédaient!
C'est bien mieux que je ne pensais au vus de la difficulté des obstacles que nous venions de franchir. Il a forcé + que prévu. D'ailleurs, il m'avouera être monté à 167 pls/mn C'est énorme comme fréquence cardiaque pour lui. Surtout au début d'une course dont je comprends vite la dureté à venir.
De nombreuses côtes forestières (20° pour certaines dixit le frangin)qui nous obligerons parfois à marcher

Des chemins suffisamment étroits pour nous obliger à max de concentration pour ne pas ici racler un mur avec les doigts, et ici chatouiller quelques ronces avec nos mollets!
A un moment, il me faudra même grimper sur un talus pour passer des vététistes en difficultés.
Peu d'erreur de course en fait. Une seule erreur significative (mienne) qui nous coûtera 2 place au scratch.
Mais combien de place gagnée grâce à des relais bien dosés Pas mal d'efficacité en général 18km de cross à 4'09 de moyenne.
Franchement c'est une réussite!

linerunner




retour Crepy en valois

Date: 16/10/2005
Lieux: Crepy-en-valois
Distance: run and bike (19.6km)
Commentaire:

Chrono: 01:08:50
Classement: 18/104
résulltats (pdf)
Une de plus dans la sacoche qui va bien!.....De compète...Et celle là,je la range en haut de la sacoche.
Parmi les choses sinon glorieuses, au moins réussie.
Avec Patrick comme partenaire coureur et mon VTT jaune comme engin de torture, Dossard 9, nom de l'équipe: vitéloin.
Nous avons finie la seconde édition du run and bike de Crépy-en-valois dans une matinée automnale par excellence. Résultat: ce soir, je tousse comme un fumeur en pleine quinte libératrice. J'ai un muscle douloureux derrière la cuisse.
Pourtant content. Mais oui, mais oui.
Départ après30 minutes de retard.
Nous apprendrons que de nombreux coureurs se sont inscrit le jour même de la course et le secrétariat aura du mal a gérer cet afflux.
Je me souviens aussi que nous avons dus signer 3 papiers différents pour pouvoir retirer nos dossards n(décharge de responsabilité). Un peu lourde cette organisation d'avant course!
Patrick commence donc par un contre la montre de 3000m de course à pied. Il a tellement la niaque au départ, qu'il passe devant nous en seconde position d'une troupe de ,104 compétiteurs aux vêtements multicolores. Dont une paire que nous avons repéré sur l'Internet et que nous espérons De nombreux club sont inscrits.
Des triathlètes, des cyclistes, des runners avec leurs accoutrements respectifs.
Ca faisait vraiment tour de Babel sportif cette course.
Sont 30, achevé, Patrick me passe le témoin(un chouchou rose) après environ 11 minutes et me libère ainsi pour 6 kilomètres de contre la montre VTT.Je e retrouve dans une position un peu trop avantageuse par rapport à mon niveau, mais j'avais anticipé cela et je j'ai pu psychologiquement gérer le fait que pas mal de concurrent me dépassent.
Le tracé du parcours est technique!
Parfois pentu et en devers, le sol est jonché de feuille, d'herbes hautes et d'humidité.
Ca glisse où ça te bloque brutalement! Il faut se concentrer pour conserver une trajectoire la plus droite possible. Utiliser le frein arrière. Oublier l'avant!J'éviterai la gamelle mais j'assiste à de magnifiques cascades et de pieds par dessus tête bien involontaire de la part de concurrents devant moi!A mi parcours un gars me dépasse et projette dans son sillage une giclée de boue qui me grêle le visage.
Et vlan dans l'oeil gauche....je suis aveuglé un moment, mais j'étais tellement dans le truc que je n'est été n'y ralenti, ni perturbé. Eh...il me reste encore l'oeil droit!
Je suis malgré tout un peu énervé de me faire dépasser et je regrette un peu ma mauvaise préparation pour ce CLM VTT. Bien + mauvais qu'il y a 3 mois!
Lorsque je rejoint le parc à vélo, nous démarrons enfin la véritable partie run and bike 11km avec le frangin. Chacun son tour sur le VTT. Nos relais se passerons bien, tout comme avec pascal il y a 4 semaines. Simplement, Patrick est plus fort que moi et ces prises de relais Course à pied ont été plus preste dans la vitesse et plus long dans la durée que les miens!J'ai fait ce que j'ai pus et ma fois, il me semble que nous avons beaucoup dépasser. C'est grisant de dépasser
Nous franchissons la ligne d'arrivé. Alors que je me sens encore en l'état de courir ainsi une demi heure.


Le meilleur est à venir!
Enfin...quand mes ampoules auront fondu
et je suis très sensible des pieds.
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