pontault combault
Date: 08/05/2005 Lieux: Pontault Combault Distance: 10Km Commentaire: Temps idéal pour le run Chrono: 00:40:07 Classement homme: 110 sur 516 classement général |
Un peu de goudron. Un peu de sous-bois. C’était le chemin à suivre pour passer une bonne matinée. 10 Km bien sympa et plat sous un temps clément. Nous sommes partis ce matin vers 8h45 avec Pascal pour arriver 15m + tard à Pontault-combault. Elles ont été vraiment bien organisées ces foulées de Pontault. Ca commence à l’inscription, où de nombreux bénévoles gèrent rapidement l’attribution des dossards. Beaucoup d’autres aiguilleront les coureurs pendant la course. Toujours une organisation impeccable. En effet des sas par temps nous accueillerons selon notre niveau estimé. Ceux qui pensent courir en + d’une heure intègrent un sas bleu. Ceux qui espèrent courir entre 58’ et 45’ intègre un sas vert. Nous rentrerons avec Pascal dans le sas jaune des 45’-40’et nous nous calerons au fond, à coté d’un coureur avec dossard qui avait l’intention de balader son gamin dans sa poussette spécial course en – de 45’ donc. Original et surprenant ! Nous discutons un peu avec Pascal et un Papy plein de jovialité. C’est parti : Mon cardio, erratique, indique 239 pulsations minutes. Ca fait une bonne semaine qu’il déconne au démarrage. Je cours le premier kilomètre un peu freiné par la concentration de coureur dons je parviens à m’extraire après environ 500m et je remonte des dizaines de concurrents. Je me concentre à dompter ma fougue. Ca fait tellement longtemps que je n’ai pas courus libéré de la hantise de douleurs tendineuses que je me sens porté vers l’excès. Mollo yoyo. Tu auras le temps de revenir à un meilleur niveau. Aujourd’hui, il te faut arriver et donner ton meilleur sur la totalité de ces 10 Km. Voici mes pensées de l’instant Et je le dis. Oui. J’ai très bien gérée la distance puisque c’est l’un des premiers 10 Km où je réalise un négatif Split. Pourtant au passage du 1er 5000 en 20’15, je ne pense vraiment pas être apte à renouveler un effort identique. Il y a une différence entre la volonté et les capacités. Et bien finalement, aujourd’hui, je me suis sous estimé. En fait, j’ai réussi grâce à un coureur de l’ UA Villenoy au front ceint d’un bandeau noir. Je suis parvenu à m’accrocher à sa foulée du 5 ème au 9 ème kilomètre. Je lui ai même involontairement un peu coupée la route à un virage serré. C’est un haut le cœur qui m’a fait ralentir .Au neuvième kilomètre, Kilomètre intense puisque outre mon léger ralentissement, pour la première fois depuis le départ, un coureur que je ne me souviens pas avoir dépassé ne se gêne pas lui pour le faire. Par contre je relève quelques bizarreries. Le maillot de ce coureur flotte au vent. Il est totalement sec. Après 9 bornes. Les cheveux du gars sont coiffés comme s’il sortait d’un brushing. A la Elvis Presley. Pas l’ombre d’un épi. Il n’a jamais passé sa main sur son front. Ce n’est pas possible. Il me dépasse avec une foulée aérienne et puissante. La foulée qu’on a au départ où à l’arrivée pour l’élan final et la « photo ». Je soupçonne une tricherie. Cela c’est passé en pleine forêt. Pas de spectateurs à cet endroit et encore moins d’officiels/arbitres. Si je me trompe (après tout, il y en a beaucoup des + forts que moi), je m’en excuse. Toutefois j’émet ici de très sérieux doutes. Lorsque j’ai tournée la tête, surpris d’entendre une foulée se rapprocher aussi rapidement, je l’ai vus de ¾ face et peu de temps puisqu’il était environ à 18 Km/h. Bizarre. Bizarre. Encore un gars qui aura fait un pari et qui aura triché pour gagner un repas. Si c’est le cas…….Non ! Je vais rester poli et garder ça pour moi ! Les 500 derniers mètres, nous sommes au coude à coude avec une coureuse de club (asop un nom comme ça jaune et vert les couleurs) qui est encouragée par un de ses collègue jusqu’à l’arrivé. J’ai un haut le coeur et je crache un peu de jus d’orange. A 200m, je crache un peu + de jus d’orange, et je suis dans l’obligation de ralentir si je souhaite ne pas vomir avant la ligne d’arrivée. La coureuse en profite pour accélérer et me larguer. Lorsque je franchis la ligne, c’est donc au maxi de mes capacités mais sans avoir pu défendre ma place au sprint. Je régurgite une belle quantité de jus d’orange au pied d’une barrière. J’ai été au bout de l’effort !! Mais j’ai tenu mon objectif de faire – de 41’. Je ramasse un verre d’eau au ravitaillement puis je me dirige vers le chrono pour encouragée l’arrivée de Pascal. Je ne le verrai jamais la franchir le frangin, puisqu’il a été plus vite que prévu. Moins de 45 minutes pour les 10000 mètres. Il a gagné 2 minutes sur ses prétentions chronométriques. Malgré nos surpoids et l’entraînement spécifique allégé.Malgré une motivation parfois vacillante. C’était un réel plaisir cette course. Nous sommes tous deux très content de nos résultats respectifs. Personnellement, Ce que je retiens surtout, c’est l’absence totale de douleurs aux tendons. Plus fort encore. Je ne ressens pas de douleurs musculaires, et ce soir, j’ai déjà récupéré. Je suis persuadé que demain, j’irais m’entraîner comme si ne rien était. Je me sens dans une forme assez proche de celle de Gretz sur Loing en juillet de l’année dernière. Maintenant, si je souhaites progresser pour retrouver mon niveau de l’année dernière, il va me falloir perdre 2 où 3 kilos, améliorer ma nutrition. Et ce soir, cette course m’a motivée. De retour à la maison, après une bonne douche et bonne Pasta reconstituante nous ferons une Mega sieste entre 14h et 16h. |
Combs la ville
Date: 19/06/2005 Lieux: Combs la ville Distance: 10 Km Commentaire: Canicule Chrono: 00:40:20 Classement homme: 65 sur environ 321 classement général |
Acte 2 du mois de juin. Combs la ville et son 10km.Je souhaitais me jauger par rapport à l’année dernière, avant que ma tendinite ne bousille ma progression. Le parcours a été modifié pour effectivement s’améliorer. Plus roulant. Moins de virages qui cassent le rythme. Pour la première fois ces 10 Km étaient qualificatif au championnat de France. Je mes suis étiré longuement avant la course car depuis jeudi, j’ai les 2 tendons d‘Achille douloureux suite à un entraînement à vma très poussé. En effet, j’ai été jusqu’au noir (j’ai vomi à la fin de ma dernière fraction explosive). 3 fois 10 fois 30’/30’ avec 2’ de récup entre les séries, sous la chaleur en plus. Soit 15 minutes effectives entre 100 et 110 % de ma vma. De toute façon physiologiquement je suis de moins en moins spécialisé « coureur à pied ».Par rapport à l’année dernière donc : Moins fort en course à pied (environ +2’ sur 10km) Bien plus fort en natation (estimation -2’ sur 500m en lac). (1km d’une traite en 23’ à Jabline Vendredi alors que l’an dernier, je faisais 13’ sur 500m) Plus fort sur le vélo (J’ai gagné un pignon). La course : Lorsque le départ est donné, je suis très bien placé et pas du tout gêné. Je me sens si bien durant les 2 premiers Km que je les cours en 7’37. Mais avec la canicule je vais vite me calmer et inexorablement mon temps on kilomètre dégringole alors que ma température corporelle s’envole. Il fallait mieux pas qu’un moustique se posa sur mon front, il se serait cramés les pattes !Si l’on m’avait jeté alors dans un camion frigorifique, Bonjour le nuage de vapeur. J’aurai opacifiées les vitres et il aurait fallu les grattées….et moi avec ! Les pancartes indiquant les distances attirent mon attention. Cela à partir de la quatrième pancarte. C’est un signe que ça devient dur là! Aie aie quoi !J’exploite la moindre zone d’ombre et j’utilise au mieux l’épongeage et les ravitaillements en eau. A la fin du dernier tour un bénévole sympa nous asperge au passage. C’est spécial les fortes chaleur. Tous les repères habituels sont dynamités à chaque degré supplémentaire. C’est rare que je me fasse dépasser sur 10 bornes après le 4 ème kilo pourtant après le 6 ème kilomètre. C’est arrivé à plusieurs reprises. Allez, voici quelque unes de mes excuses »bidons » en vrac :Je ne souhaitais pas non plus me livrer totalement. Un peu anxieux de vomir si je maintenais un effort trop élevé(mauvais souvenir de jeudi et de Pontault aussi).Une inquiétude sur l’état de mes tendons et surtout, la semaine prochaine, Ce sera mon premier triathlon de la saison à Souppes sur loing. Il fallait donc que je conserve un peu d’influx nerveux. Quoiqu’il en soit, je ne serais jamais passé sous la barre des 40 minutes aujourd’hui et j’ai couru à 99.5 pour cent de mes capacités. Une mamie d’environ 80 ans participait à la course. Je lui ai
pris un tour, non sans oublié se l’encourager. C’est quand même mieux que
« les feux de l’amour » un 10 kilomètre. Bravo madame ! Les 2 derniers kilomètres, ma fréquence cardiaque augmente, et malgré tout, je trouve les ressources pour courir un dernier 400m incroyable. J’ai dépassé 5 concurrents en file indienne, dont le plus proche avait au minimum 30 mètres d’avance. A Chaque fois que je passai l’uns d’eux, le gars tentait de répondre. Mais j’ai tenu et accélérer le rythme. Même le dernier de cette série donc que je n’ai dépassé qu’a 50 mètres de la ligne d’arrivée et après avoir « sprinté » 350 m. Il est parvenu à tenir ma foulée 5 mètres. J’ai crains un moment qu’il ne puisse me reprendre, j’ai donc donné un deuxième coup de rein. Et à ce moment, je l’ai entendu abdiquer. Le speaker a commenté mon arrivée. Ca fait toujours plaisir. Voilà, il était là le bénéfice de mon dur entraînement de Jeudi. J’ai pus maintenir l’effort (et même l’amplifier) sur ce 400m jusqu’au bout. Un autre paramètre aussi. Merci maman de m’avoir fabriqué avec plus de fibres rapides que la moyenne. En fait, quand j’y pense, à l’origine, j’étais fait pour les courses explosives et pas les courses de fond. Étant gosse, Sur 50m je ne me souviens pas avoir été battus par des gamins de mon age mais je me traînais plutôt dès qu’il s’agissait de faire plusieurs tours de piste. Physiologiquement je suis donc plutôt sprinteur que coureur de fond. Plusieurs malaises à l’arrivée aussi. Des coups de chaud. Des gens allongés au sol, cherchant leur souffle comme on dit et réhydratés par les soins des équipes de la croix rouge. Rien de grave à priori. J’ai discuté un peu avec le chronométreur, et il m’a dis qu’environ 320 personnes était arrivée. Du point de vus de l’organisation. Bravo !Le speaker était vraiment super. Les bénévoles était nombreux. La course très bien sécurisée. Les ravitos bien placés. Le parcours rapide. Seul bémol ; s’il faut en trouver un : Le départ et l’arrivée séparés par 800 mètres. Je suis resté jusqu’à la remise des médailles. Nous avons tous applaudis les vainqueurs dans les différentes catégories. Puis retour peinard à Bussy. Enfin peinard. Je suis inquiet sur l’état de mes tendons ! Froid, Voltarene, massage. C’est reparti. ça fait chier quand même, mais je vais tacher de rester sur le fil ! Je suis impatient d’être à la semaine prochaine. J’ai bien profité de cette semaine de vacance pour m’entraîner,
et, si je ne crève pas à VTT, je devrais réussir une course sympathique dimanche
prochain. |
Corbigny
Date: 11/9/2005 Lieux: Corbigny (58) Distance: Cyclosportive 100km Commentaire: RAS Chrono: 03:28:20 Classement: 62/119 scratch |
Pfouff. Ca, c'est le bruit de mon pèse personne ce soir 2 jours après la course. Je me suis permis suffisamment d'écart diététique pour que newton me rappelle à l'ordre. Mais il m'est quasiment insurmontable de contenir cette envie de sucré après un effort de 3h30. Patrick, Pascal, les parents et moi, nous nous sommes retrouvés Samedi dans un pavillon loué sur une bonne idée de Patrick.A Corbigny au sud d'Auxerre dans la Nièvre. Nous participerons avec les frangin à la première édition de la jean François Bernard.La cyclo des lacs du Morvan. Ce sera ma première cyclo-sportive. Eh oui, du vélo.. Lever Dimanche 6h30.J'ai très mal dormi. Un départ au frais (environ 10°)prévu et effectif à 8h. Une température idéale tout le long de la course Patrick s'envole immédiatement vers des cieux sportifs qui brillent en tête de course pendant que nous nous accrochons en queue de ce peloton principal avec Pascal durant une bonne vingtaine de minutes. C'est un peu trop rapide pour nous et lorsque nous ralentissons nous nous retrouvons isolés et un peu dans l'expectative. J'en suis même à me demander si nous sommes derniers? Pascal me rassure en pensant que je plaisante. Que nenni. Le train multicolore est partis devant, parmi les dernières images de ce train, nous apercevrons d'ailleurs Patrick répondre à une attaque,c est l'échappée décisive à laquelle nous venons d'assister.Les gars des podiums sont là! Mais nous, nous décrochons donc, et j'ai beau me retourner, c'est le grand calme derrière. A rendre jaloux plus d'un parisien dans les bouchons! Finalement après 15' d'effort solitaires, nous intégrerons le second groupe qui nous rejoint, et avec lequel nous roulerons quasiment jusqu'à l'arrivé. En tout début de course, j'ai parfois hésité à prendre l'aspiration des coureurs qui me précédaient, et comme disent les cyclistes, j'ai donc fait l'accordéon et dépensé de l'énergie inutilement. J'ai pris peu à peu de l'assurance et à a fin de la course, je gérais assez bien ma position dans un groupe pour qu'elle soit "confortable". Anecdotes de course: -Dans un court moment de déconnection mentale, un faux mouvement m'a expédié sur le bas coté de la route. J'ai donc roulé une vingtaine de mètre dans l'herbe avec le bon réflexe d'attendre suffisamment que le goudron soit au même niveau que l'herbe avant de me remettre sur la route. Ce faisant, ma roue arrière, à touchée la roue avant d'un coureur. Sans bobos heureusement.Fiou... coup de chaud rétrospectif. mais sur le moment, honnêtement, RAF (rien à foutre). Seule comptait la suite des évènements! Il aurait pu anticiper un peu ce collègue et me laisser la place pour revenir sur la route...la fatigue aussi! -En me ravitaillant, le papier de ma barre chocolat céréales c'est envolé. J'ai entendu un cri derrière moi. Nous étions une bonne dizaine dans ce groupe et évidement, c'est Pascal qui c'est récolté mon bout de papier, et surtout la grosse peur de sa course pour lui puisque sur l'instant, il pensait que c'était un oiseau qui l'avait prit pour cible. J'en rigole en écrivant cela..c'est pas sympa je sais! Je ferais plus attention dorénavant.Il aurait pus se gameller. Je me suis bien ravitaillé au fait puisque j'ai pu maintenir l'effort jusqu'au bout malgré quelques alertes de crampes à partir de 3 h de course, Je les gérerais impec et parviendrais malgré cela à accélérer. Bien la solution isostar dans les bidons. Un peu de glucide qui m'ont soutenus...est ce que je ne serais un peu doper??? -Je me suis arrêter à chacun des 2 ravitos prévus sur le parcours. Nous échangerons quelques mots sympas avec les bénévoles! Avec les coureurs aussi d'ailleurs. On peux discuter parfois à vélo! Chose quasi impossible en course à pied! Comme il me restera du liquide dans les bidons à la fin de la compétition, cela signifie que je me suis arrêté une fois de trop. Finalement, c'est moins difficile que je ne pensais de se ravitailler en vélo. Ok, il faut tout de même se concentrer sur les gestes et le bon moment, mais c'est tout à fait réalisable! Par contre, les arrêts ravitos m'obligerons à fournir un effort assez important pour recoller au groupe. Pascal me le fera d'ailleurs remarquer! -Nous discutons avec pascal parfois, à un moment, pour déconner et alors que je revenais d'un des arrêts ravitos, je l'ai un peu aidé sur une montée en le poussant par la selle....Allez juste 10 mètres c'était juste pour déconner et certainement pas pour tricher! Nous parlerons aussi de mon vélo un peu lourd, 12 kg qui ne m'empêcherons pas de me débrouiller dans les montées, puisque je serais souvent devant notre petit groupe lors des ascensions ni de prendre ma part de travail sur le plat. J'avais décidé avant la course de ne pas me comporter en suceur de roue professionnel. Je pense que je suis parvenu à mon objectif puisqu'un coureur coureur m'a remercié en haut d'une côte pour mon boulot dans le groupe....accélérations comprises pour dynamiter de temps en temps. J'utiliserai souvent les descentes pour recoller à des groupes, et souvent aussi, j'ai du freiner lors des descentes, puisque mon vélo était un peu plus lourd que la moyenne, je descendais plus vite et j'ai bien usés mes freins hélas par moment. Cela dis, cela m'a certainement évité une gamelle d'anthologie puisqu'à la fin, je descendais réellement très vite et parfois un peu dangereusement. Hé oui, la route n'était pas totalement fermée et des voitures montaient en face. -Je franchis la ligne en compagnie de 3 collègues d'échappée, tranquillement. Nous décidons d'attendre les podiums et le tirage au sort de la tombola. Bien nous en pris: Bien qu'ayant fini 4ème senior homme (catégorie D), l'absence du troisième officiel lors de la remise des récompenses permettra à Patrick de monter sur la troisième marche du podium. A la tombola:Pascal a gagner un jeu de pédales look d'environ 100 euros! 115 grammes présentées dans un écrin comme un bijou. Perso, lorsque j'ai ouvert le sac contenant le sempiternel tee-shirt offert aux arrivant, j'ai eu la surprise d'y trouver une mini pompe. Quand je pense qu'un quart d'heure auparavant j'espérai que le tirage au sort de la tombola m'élise pour une mini pompe! Voilà journée quasi parfaite donc! Tout le monde est en forme. Parents, frangins et moi! Encore un bon souvenir! C'est chouette le sport! |
Montereau
Date: 09/10/2005 Lieux: Montereau Distance: 10 km Commentaire: RAS Chrono: 00:41:06 Classement: 216/627 classement général |
J'étais motivé pour 5, j'en ai fait 10 des kilomètres. Même pas mal. Il y a des dimanches comme ça. Avec Pascal, nous courrons ensemble les 2 premiers kilomètres de cette course de Montereau. Et nous sommes partis bien trop rapidement! Surtout pascal d'ailleurs. Durant 10 Km, J'ai ressentie l'impression bizarre de me dépenser énormément pour un faible rendement. Autrement dis, les kilomètres me semblaient à rallonge. Des hauts et trop de bas durant les 41 minutes de la compète. Un gros coup de frein notamment entre le 6 et le 8 Km avant de retrouver de meilleures sensations grâce à de profondes expirations et un geste plus fluide. Je finirais en sprintant les derniers 200 m rattrapant ainsi 4 à 5 coureurs. Mais le sixième a triché un peu puisqu'il a placer sa main sur mon torde pour prendre appuie et me freiner. Il franchis la ligne devant moi et je lui serre quand même la main car c'est comme un réflexe qu'il a eu, il m'a aperçu au dernier moment. Enfin bon.. la réalité c'est que ce gars là était foncièrement antisportif. Compétiteur, mais antisportif, selon mes critères! J'ai vraiment forcé lors du sprint car je vomi un peu à l'arrivée et une bénévole prévenante vient au nouvelles, je la rassurerai bien vite. Résultat: 4minutes de plus qu'il y a 2 ans, j'ai beaucoup régresser en course à pied. Je suis moins spécialisé qu'avant et mon entraînement "triathlète", ainsi que la gestion des entraînements du aux faiblesses de mon tendon d'Achille. Donc............ régression spectaculaire. ça fait un peu chier d'ailleurs! Je suis d"écu aujourd'hui donc, mais nous ferons mieux Dimanche prochain avec pascal pour la chell'oise. Mardi (2 jours après montereau), nous avons fait un entraînement run and bike en ligne quasi à fond et avons parcourus 10 Km en......36'35...INCROYABLE. Vivement dimanche prochain, que l'on efface ce mauvais souvenir sportif et notre demi échec de dimanche donc. |
Crepy en valois
Date: 16/10/2005 Lieux: Crepy-en-valois Distance: run and bike (19.6km) Commentaire: Chrono: 01:08:50 Classement: 18/104 résulltats (pdf) |
Une de plus dans la sacoche qui va bien!.....De compète...Et celle là,je la range en haut de la sacoche. Parmi les choses sinon glorieuses, au moins réussie. Avec Patrick comme partenaire coureur et mon VTT jaune comme engin de torture, Dossard 9, nom de l'équipe: vitéloin. Nous avons finie la seconde édition du run and bike de Crépy-en-valois dans une matinée automnale par excellence. Résultat: ce soir, je tousse comme un fumeur en pleine quinte libératrice. J'ai un muscle douloureux derrière la cuisse. Pourtant content. Mais oui, mais oui. Départ après30 minutes de retard. Nous apprendrons que de nombreux coureurs se sont inscrit le jour même de la course et le secrétariat aura du mal a gérer cet afflux. Je me souviens aussi que nous avons dus signer 3 papiers différents pour pouvoir retirer nos dossards n(décharge de responsabilité). Un peu lourde cette organisation d'avant course! Patrick commence donc par un contre la montre de 3000m de course à pied. Il a tellement la niaque au départ, qu'il passe devant nous en seconde position d'une troupe de ,104 compétiteurs aux vêtements multicolores. Dont une paire que nous avons repéré sur l'Internet et que nous espérons De nombreux club sont inscrits. Des triathlètes, des cyclistes, des runners avec leurs accoutrements respectifs. Ca faisait vraiment tour de Babel sportif cette course. Sont 30, achevé, Patrick me passe le témoin(un chouchou rose) après environ 11 minutes et me libère ainsi pour 6 kilomètres de contre la montre VTT.Je e retrouve dans une position un peu trop avantageuse par rapport à mon niveau, mais j'avais anticipé cela et je j'ai pu psychologiquement gérer le fait que pas mal de concurrent me dépassent. Le tracé du parcours est technique! Parfois pentu et en devers, le sol est jonché de feuille, d'herbes hautes et d'humidité. Ca glisse où ça te bloque brutalement! Il faut se concentrer pour conserver une trajectoire la plus droite possible. Utiliser le frein arrière. Oublier l'avant!J'éviterai la gamelle mais j'assiste à de magnifiques cascades et de pieds par dessus tête bien involontaire de la part de concurrents devant moi!A mi parcours un gars me dépasse et projette dans son sillage une giclée de boue qui me grêle le visage. Et vlan dans l'oeil gauche....je suis aveuglé un moment, mais j'étais tellement dans le truc que je n'est été n'y ralenti, ni perturbé. Eh...il me reste encore l'oeil droit! Je suis malgré tout un peu énervé de me faire dépasser et je regrette un peu ma mauvaise préparation pour ce CLM VTT. Bien + mauvais qu'il y a 3 mois! Lorsque je rejoint le parc à vélo, nous démarrons enfin la véritable partie run and bike 11km avec le frangin. Chacun son tour sur le VTT. Nos relais se passerons bien, tout comme avec pascal il y a 4 semaines. Simplement, Patrick est plus fort que moi et ces prises de relais Course à pied ont été plus preste dans la vitesse et plus long dans la durée que les miens!J'ai fait ce que j'ai pus et ma fois, il me semble que nous avons beaucoup dépasser. C'est grisant de dépasser Nous franchissons la ligne d'arrivé. Alors que je me sens encore en l'état de courir ainsi une demi heure. |